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Tabac : les difficultés du sevrage

(Last Updated On: 25 mars 2019)
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Qui aujourd’hui ignore encore les effets néfastes du tabac sur la santé ? D’ailleurs, tout le monde sait que quand on arrête de fumer, on devient quelqu’un d’autre.

Les changements constatés

La peau de vient éclatante, on a beaucoup plus de souffle et même les risques de se retrouver impuissant sont diminués ! Ce que les gens ignorent, c’est la difficulté de se détacher de la cigarette et surtout des effets secondaires qui peuvent arriver aux personnes en cours de désintoxication tels que l’irritabilité, l’anxiété, les petits problèmes de digestion ainsi que des douleurs au niveau des muscles.

Il n’y arien de plus bénéfique pour la santé que d’arrêter de fumer. Les risques de maladies cardiovasculaires s’en trouvent réduits et ce juste après une année d’abstinence. Les effets bénéfiques de l’arrêt du tabac sont plus importants si l’on stoppe la cigarette plus tôt. Donc, il est préférable de dire stop au tabagisme avant sa quarantaine afin de pouvoir recouvrir son espérance de vie initiale.

Les effets gênants du sevrage

Cependant, les ex-fumeurs se trouvent souvent avec les nerfs à fleur de peau, sont agressifs envers ceux qui les entourent et sont généralement lessivés. Ce phénomène s’explique par l’accoutumance du corps à la nicotine et à la forte sensation de manque éprouvée par la personne. Son cerveau est alerté par la subite baisse du taux de nicotine dans le sang et la personne en cours de sevrage ressent un énorme besoin de fumer qui s’altèrera au fil des jours quand la nicotine contenu dans le sang est réduite. A ce moment-là, la nicotine qui est laissée dans la myéline des neurones fait que des envies de fumer, cette fois-ci moins importantes, persistent.

Sinon, le cerveau peut également jouer des petits tours à ces fumeurs en cours de sevrage. Ces derniers peuvent être sujets à des vertiges, à des maux de tête. Ils maitrisent mal la concentration et deviennent plus fébriles. Notons que les fumeurs inhalent plus de 300% de monoxyde de carbone. Cette substance prend alors la plus grande place dans le sang au lieu de l’oxygène. Et en ne fumant plus, le cerveau subit comme une sur-oxygénation et une baisse de la pression du sang qui rendent plus fortes les migraines.

Auteur de l’article : Jacques Dupont

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